L’investissement locatif attire de plus en plus de particuliers ces dernières années, c’est pour cela que l'on a décidé de s’attarder sur ce sujet, et plus précisément sur un point particulier à ne pas négliger : les diagnostics immobiliers.
Pourquoi des diagnostics ?
Maison individuelle ou appartement, meublé ou non meublé… mettre en location son bien immobilier, ça rapporte certes, mais il y a certaines conditions à suivre pour investir là-dedans, notamment le diagnostic du bien en question.
En effet, la loi oblige que le propriétaire-bailleur fasse évaluer son bien avant d’y accueillir des locataires, pour vérifier certains points.
En premier lieu, il y a ce qu’on appelle « Etat des Risques Naturels Miniers et Technologiques » connu sous le sigle ERNMT, et qui sert à vérifier si oui ou non le logement se trouve dans un périmètre à risques (avalanche, séisme, effondrement de terrain, accidents industriels …).
Les diagnostics se portent également sur la présence ou non de plomb dans les revêtements de la maison, le plomb étant un élément nocif pour la santé provoquant le saturnisme ou l’intoxication par le plomb.
Enfin, il est également obligatoire de diagnostiquer le système énergétique du logement, le but étant de vérifier si le lieu est bien isolé thermiquement et avec un système de chauffage adéquat.
Il s’agit bien évidemment de vérifications très techniques, ce qui oblige le bailleur à faire appel à un diagnostiquer certifié qui lui mettra après un « Dossier de Diagnostic Technique » (DDT), un document à présenter au futur locataire au moment de la signature du bail.
Du changement concernant le DDT !
Mais la tâche se complique un peu pour les bailleurs puisque la loi « Alur » de mars 2014 apporte un lot de nouveautés dans les diagnostics immobiliers, concernant surtout le gaz et l’électricité.
En effet, le professionnel qui fera le diagnostic sera également chargé de mentionner dans son constat l’état des installations électriques et des installations gaz, cela afin d’évaluer les risques qui y sont liés. Le but étant toujours d’assurer la sécurité des consommateurs (locataires), les propriétaires-bailleurs devront donc réparer/améliorer l’installation électrique avant de mettre son bien en location, tout en vérifiant l’état des tuyauteries de gaz pour éviter par exemple les fuites.
Toutefois, on a quand même le temps de se préparer à tout ça, car ces nouveaux points du DDT ne seront effectifs que pour les baux signés à partir de juillet 2017.
On rappelle que d’autres informations sont également à fournir obligatoirement aux locataires avec le DDT, comme la surface habitable (loi Boutin), le diagnostic amiante, l’accès aux technologies de communication (télévision, internet, …).
Pourquoi des diagnostics ?
Maison individuelle ou appartement, meublé ou non meublé… mettre en location son bien immobilier, ça rapporte certes, mais il y a certaines conditions à suivre pour investir là-dedans, notamment le diagnostic du bien en question.
En effet, la loi oblige que le propriétaire-bailleur fasse évaluer son bien avant d’y accueillir des locataires, pour vérifier certains points.
En premier lieu, il y a ce qu’on appelle « Etat des Risques Naturels Miniers et Technologiques » connu sous le sigle ERNMT, et qui sert à vérifier si oui ou non le logement se trouve dans un périmètre à risques (avalanche, séisme, effondrement de terrain, accidents industriels …).
Les diagnostics se portent également sur la présence ou non de plomb dans les revêtements de la maison, le plomb étant un élément nocif pour la santé provoquant le saturnisme ou l’intoxication par le plomb.
Enfin, il est également obligatoire de diagnostiquer le système énergétique du logement, le but étant de vérifier si le lieu est bien isolé thermiquement et avec un système de chauffage adéquat.
Il s’agit bien évidemment de vérifications très techniques, ce qui oblige le bailleur à faire appel à un diagnostiquer certifié qui lui mettra après un « Dossier de Diagnostic Technique » (DDT), un document à présenter au futur locataire au moment de la signature du bail.
Du changement concernant le DDT !
Mais la tâche se complique un peu pour les bailleurs puisque la loi « Alur » de mars 2014 apporte un lot de nouveautés dans les diagnostics immobiliers, concernant surtout le gaz et l’électricité.
En effet, le professionnel qui fera le diagnostic sera également chargé de mentionner dans son constat l’état des installations électriques et des installations gaz, cela afin d’évaluer les risques qui y sont liés. Le but étant toujours d’assurer la sécurité des consommateurs (locataires), les propriétaires-bailleurs devront donc réparer/améliorer l’installation électrique avant de mettre son bien en location, tout en vérifiant l’état des tuyauteries de gaz pour éviter par exemple les fuites.
Toutefois, on a quand même le temps de se préparer à tout ça, car ces nouveaux points du DDT ne seront effectifs que pour les baux signés à partir de juillet 2017.
On rappelle que d’autres informations sont également à fournir obligatoirement aux locataires avec le DDT, comme la surface habitable (loi Boutin), le diagnostic amiante, l’accès aux technologies de communication (télévision, internet, …).